Gemalto, numéro un mondial de la sécurité numérique, Nike tn sort de l’indice après seulement deux ans et demi. Le secteur technologique est globalement peu représenté dans les indices boursiers européens, ce qui traduit la domination américaine dans ce domaine.
Le CAC 40 en route vers l’avenir, avec des acteurs nés le plus souvent au XIXe siècle. Le retour de Peugeot - société fondée en 1810, devenue en 1891 l’un des tous premiers constructeurs d’automobiles de l’histoire- aux dépens de Gemalto, artisan de l’essor de l’économie numérique (via la carte à puce en particulier), a fait grincer quelques dents du côté des promoteurs de la French Tech.
Il ne s’agit pas de caricaturer PSA -entreprise qui s’inscrit pleinement dans son temps en développant bien évidemment des technologies dernier cri- mais il est certain que l’indice phare parisien fait la part belle à des entreprises à l’image plutôt traditionnelle comme Suez (qui remonte au percement du canal par Fernand de Lesseps), Tn
Requin Pas Cher BNP Paribas (issue du Comptoir national d’escompte créé durant la Seconde République) ou Vivendi (héritier de la Compagnie générale des eaux, déjà la coqueluche de la Bourse de Paris au Second Empire).
Parmi les quarante valeurs qui composent le CAC 40, force est de constater que les représentants des nouvelles technologies sont quasiment absent: hormis les télécoms, seuls demeurent Alcatel-Lucent et Capgemini. Encore que ce dernier s’apparente surtout à une société de services. Aucun indice technologique tricolore n’a d’ailleurs percé véritablement.
«Voyons la réalité en face: il n’y a quasiment pas de valeurs technologiques au CAC 40!», admet Aymeric Diday, directeur de la gestion sous mandat chez SPGP, qui a récemment lancé The Digital Explorer, un fonds spécialisé sur les valeurs technologiques. «Aujourd’hui encore, Tn
Pas Cher pour investir sur les nouvelles technologies, il faut essentiellement se tourner vers les États-Unis, voire Tel-Aviv où il existe aussi.
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