Le Nike TN ballet des appareils de la gendarmerie et de l'armée a repris mercredi au dessus du vallon de Galèbre pour treuiller les restes des corps. De leur côté, les chasseurs alpins de Gap tentaient de localiser la seconde boîte noire de l'épave, toujours introuvable.
Seyne-les-Alpes
«C'est un choc pour moi, je n'ai pas dormi de la nuit», confie Marie-Jo Revol, une habitante de Seyne-les-Alpes. Le petit village, l'un des plus proches du lieu du crash et devenu le QG des secours, s'est réveillé mercredi matin avec le bruit des hélicoptères et une nuée de journalistes et de secours virevoltant dans tout le bourg. La visite officielle de François Hollande, d'Angela Merkel et de Mariano Rajoy ajoutait à l'effervescence et à la tension dans la commune de 1 500 habitants. Dès l'aube, les hélicoptères sont repartis survoler le vallon de Galèbre pour poursuivre les recherches. Nike Tn
Pas Cher Priorité était donnée mercredi aux quatre appareils de la gendarmerie et à celui de l'armée de l'air pour localiser les corps et la seconde boîte noire de l'épave, toujours introuvable.
Xavier Roy, pilote de sécurité civile et coordinateur des moyens aériens, a survolé le site mardi, le jour du drame, où il a déposé une vingtaine de secouristes. «Ce qui est surprenant, ce sont les débris très petits de l'avion, et très éparpillés, sur 600 m de largeur environ et 250 m de dénivelé, décrit-il. Ni cockpit, ni carlingue, rien de tout cela, aucun morceau identifiable.»«Nous avons été surpris, raconte le Dr Frédéric Petitjean, médecin chef des sapeurs-pompiers des Alpes-de-Haute-Provence, Air Max 90 arrivé sur zone le premier avec deux gendarmes du peloton de haute montagne de Jausiers. En survolant les lieux, on n'a repéré que de légères fumées, alors que nous nous attendions à voir des flammes.
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