Dans cette université britannique, le Nike tn Dr Robin Carhart-Harris et son équipe étudient l’action de drogues telles que le LSD sur le cerveau, avec pour but d’en faire, à terme, un usage curatif. Quelques étudiants font partie du panel test.
Les médias britanniques rapportent cette semaine qu’ «une horde d’étudiants» se battraient pour participer à l’étude du Dr Robin Carhart-Harris, dans le but de prendre du LSD, l’une des substances dont cette équipe de chercheurs teste actuellement les effets. Sur place, les élèves racontent tout juste avoir vu «une ou deux affiches» parlant du projet, sans pour autant attirer les foules.
Imperial College corrobore cette version: les étudiants n’étaient pas spécificiquement ciblés pour participer à cette étude visant à analyser l’effet du LSD sur l’activité neuronale d’un sujet sain, et seule une poignée d’entre eux se seraient portés volontaires. En définitive, ils ne seront «qu’un ou deux» sur la vingtaine de participants à cette étude qui utilisera l’imagerie cérébrale pour mettre en lumière les effets de Tn
Requin Pas Cher cette molécule. En parallèle, cette même équipe de chercheurs étudie déjà l’effet de la psilocybine, le principe actif de certains champignons hallucinogènes, dans le traitement de la dépression.
«Ne pas se fermer de portes thérapeutiques»
Au delà du public ciblé, c’est ainsi l’étude même d’une substance considérée au départ comme une drogue qui interroge. Pourtant, comme l’explique le psychiatre Guillaume Fond, la distinction entre ce que l’on nomme drogue et médicament utilisé dans le traitement des troubles mentaux est plus mince qu’il n’y parait. «Il s’agit de psychostimulants dans tous les cas», explique-t-il, précisant que les doses utilisées de façon médicamenteuses sont en règle générale «bien plus faibles» que celles ingérées avec un but récréatif, Tn
Pas Cher et que les participants à ces études sont «très protégés, très surveillés». «Il est important de ne pas se fermer de portes.
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